Noëmie, #PartageTonProjet
Noëmie #Partage Ton ProjetNoëmie, en 2ème année de master marketing-vente en alternance chez Idéobjet, agence de communication par l'objet basée à Auray, nous dévoile ses projets, dans le cadre de la campagne de communication JPO 2020 #PartageTonProjet.
Pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Noémie, j’ai 22 ans.
Quelle formation avez-vous suivi au sein de notre établissement ?
Après mon Baccalauréat, j’ai décidé de m’orienter vers une Licence de droit, mais cela ne m’a pas plu. J’ai décidé de travailler durant cette année de réorientation et cela m’a fait prendre conscience que c’était une filière commerciale qu’il me fallait.
En conséquence, j’ai intégré l’IUT de Vannes en Techniques de Commercialisation en 2015 et j’ai continué sur une Licence 3 Marketing Vente.
Aujourd’hui je suis en deuxième année de Master Marketing Vente en alternance chez Idéobjet, agence de communication par l’objet.
Pourquoi avez-vous choisi l'Institut de Management de l'UBS ?
J’ai choisi l’UBS car c’était une suite logique pour moi, les enseignements dispensés correspondaient à mes attentes. Je voulais vraiment intégrer le Master Marketing Vente proposé en alternance, je ne voulais plus faire de formation initiale . J’avais vraiment besoin de rentrer dans un cadre professionnel car je trouve que c’est très formateur et cela constitue de bons bagages pour la suite.
Je trouve que ce master a un vrai lien avec l’entreprise. Pour ma part j’ai réutilisé certaines compétences acquises directement en cours :
- La production graphique
- Le commerce international (notamment la logistique)
- La gestion de production
- Le Marketing des services
- Tous les cours liés à la grande distribution, qui aident à mieux comprendre les problématiques de certains de nos clients
Par ailleurs, les cours de négociation et de CRM/relation client ont été les plus profitables à une mise en application directe tous les jours en entreprise auprès de mes clients et fournisseurs.
Que pensez-vous de l'alternance ?
Si l’alternance est très formatrice, le rythme reste tout de même soutenu surtout en Master 2 avec la rédaction du mémoire, en parallèle des semaines de travail. C’est un investissement de tous les jours. Les vacances ne sont plus les mêmes non plus, il n’y a plus de vacances scolaires, il faut les poser auprès de son employeur.
Nous sommes la plupart du temps 3 semaines en entreprise pour 1 semaine de cours chaque mois.
Notre promo est composée de 21 étudiants ; nous sommes tous dans des secteurs très différents en alternance : banque, grande distribution, agro-alimentaire, paramédical/médical…
Comment avez-vous trouvé votre entreprise ?
J’ai été plutôt chanceuse pour trouver mon alternance. Lorsque j’étais en L3 marketing vente à la Faculté de Droit Sciences Economiques & Gestion, avec notre groupe de classe nous avons participé au projet tuteuré des Portes Ouvertes de la Faculté.
A cette occasion, nous avons réalisé un objet logoté DSEG à distribuer aux visiteurs. J‘ai pu découvrir alors Idéobjet et les objets publicitaires. J’ai décidé quelques mois après de postuler pour y réaliser mon stage de Licence 3.
La directrice a accepté ma candidature ; un mois ou deux après mon intégration, elle m’a proposé de rester en alternance si je le souhaitais. Cela m’a donc doublement motivée à réussir mon entretien pour le master. Une fois acceptée pour le M1, nous avons établi mon contrat pour 2 ans.
C’était également une première fois pour Idéobjet qui n’avait encore jamais pris d’étudiant en alternance !
Après votre formation (ou une fois diplômée), quels sont vos projets pour la suite ?
Je souhaite continuer sur un métier commercial car j’ai vraiment trouvé ma voie dans ce milieu : le contact client, la sensibilité aux chiffres et objectifs, la négociation client…
Je pense rester chez Idéobjet encore quelques temps après la fin de mon Master, car j’ai encore beaucoup de choses à apprendre, nous sommes sur un travail avec une belle diversité, aussi bien dans les clients que dans leurs demandes. Il n’y a pas de routine !
A terme, mon projet est de devenir chef d’entreprise. Mais cela demande un minimum d’expérience et surtout, la bonne idée ! C’est un projet que je dois mûrir mais qui me tient très à cœur.
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